[Scion : Hero] Chapitre IV : cultiver son jardin...

Le dieu de la glace sourit et gela quelque peu l'enthousiasme de sa chère et tendre fille :

"Eh, doucement, ma fille ! C'est moi que tu dois impressionner, pas les autres ! Il faut me montrer que tu es assez givrée pour être la fille de ton père, Kate. Montre-moi donc que tu es cool comme la glace ! Fais-moi une pure cascade en skateboard !"

Note : à ce moment, tu as tes nouveaux attributs épiques, mais pas les Héritages, forcément.

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La déesse Perséphone sourit doucement en regardant sa fille et prit de nouveau la parole en l'observant :

"Tu es devenue plus forte et puissante, mais cela ne suffira pas. Je sens que ta maîtrise du domaine de la Mort laisse à désirer, par exemple. Aussi, je vais te faire don de certains pouvoirs associés à ce domaine. Ces présents sont ce qui fait de moi la Reine de l'Hadès. Sans emprise sur la Mort, je ne pourrais pas gouverner les Enfers et me montrer digne de mon époux et souverain.

Tes pouvoirs ne rivaliseront bien évidemment pas avec les miens, ma fille, mais sache qu'ils te seront utiles pour apporter la douce sérénité de la mort ou avoir des serviteurs à tes ordres. Je te dote en effet de la capacité à mettre fin à la vie d'un mourant, et ainsi de soulager ses souffrances, par ton seul toucher, ainsi que de celle d'animer les cadavres pour en faire des zombies."

Shizuka sentit en effet une étrange énergie la gagner et l'imprégner. C'était une énergie sombre, macabre et glaciale. Elle était aussi lugubre qu'un requiem, mais pourtant, elle n'était pas terrible pour la jeune femme. Sa nature l'appelait même...

Flora sourit doucement et s'approcha lentement de lui en le regardant sensuellement avant de glisser ses bras autour de son cou tout en continuant à sourire et plonger son regard dans les yeux du jeune demi-dieu. Ses joues avaient légèrement rosi.

"Eh bien, mon cher... Je dois t'apprendre à employer à bon escient tes capacités en société, t'aider à travailler ton comportement social et ce genre de choses. Tu sais, j'ai pu observer le comportement des filles et l'effet qu'elles faisaient sur les autres étudiants, notamment durant les périodes de cours, mais je n'ai pas eu l'occasion de voir ça avec toi. Je t'observerai donc en situation réelle, si je puis dire.

Je t'apprendrai aussi à résister aux charmes afin de mieux résister contre les plus terribles séductrices. Cela dit, je dois admettre que, face à des charmeuses légendaires, je ne pourrai pas t'aider. Ce ne sera pas efficace contre ma mère ou Bastet, par exemple..."

Elle se mordilla la lèvre en le regardant un instant avant de poursuivre :

"Enfin, eh bien... Ton père a avoué avoir un faible pour la beauté et la sensualité. Il a un certain goût pour les belles choses et, en particulier, les belles femmes. Il espère que tu ne le décevras pas dans ce domaine-là, si tu vois ce que je veux dire..."

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Le dieu nordique du givre l'observa en souriant et en la survolant. Il volait tel le surfeur d'argent afin de ne pas être vu par les mortels et regardait sa fille accomplir des prouesses dignes de lui. En tout cas, il ne pouvait nier que c'était du spectacle ! Les exploits de Kate surpassaient les plus grands cascadeurs et sportifs de l'extrêm. En plus, vu qu'elle se montrait, elle allait créer sa légende... Et se lier à des mortels.

Uller se posa rapidement près de sa fille en souriant et la félicita pour sa démonstration :

"Eh, tu déchires, ma fille ! Tu es vraiment digne de ton statut... Je crois que ça mérite quelques cadeaux, ça, non ?"

Il sourit et lui tendit un sac à dos assez cher.

"Le cadeau est dedans. Le sac est parfaitement normal..."

Dans ce sac à dos se trouvait en effet une magnifique cape en peau de loup...

Est-ce que c’est Yoroku ou la chaleur devient éprouvante dans cette salle ? Il a beau se dégager, reculer, se défendre, elle approche à chaque fois. Il perd le contrôle encore, sent ses membres se raidir. Sa respiration se fait plus rapprochée, plus irrégulière. Il n’a pas ressenti tant de troubles à cause d’une femme de toute sa vie.

La force lui manque cruellement pour se relever et encore prendre ses distances. Lentement, il se rapproche à son tour. Le désir est irrépressible. Il est attiré, mû par une force invisible.

La présence de Flora est envoutante. Il se surprend à sentir son parfum, à admirer ses courbes, ses longues jambes vertigineuses. La gorge sèche, il essaye de garder sa contenance. Ne pas céder à ses désirs, ne pas céder à ses désirs. La phrase se répète dans sa tête comme un sutra mais son corps ne semblait plus vouloir lui obéir.

Son regard plonge dans celui de la demi-déesse. Celle qui est son deuxième mentor, lui renvoie son attention le laissant s’immerger dans ses yeux aux couleurs marines. Juste au-dessous, ses pommettes prennent une couleur légèrement rosée, sous l’émotion peut-être. Les lèvres rouges l’invitent irrésistiblement. Il se penche un peu plus, le cœur battant. Sa main se pose sur la cuisse de Flora, la caressant très lentement. La main de la fille d’Aphrodite se place à son tour sur celle de Yoroku avec une légèreté presque irréelle. La peau est douce, soyeuse. Yoroku, sans le vouloir, se laisse rêver en imaginant son goût sucré.

« Si il s’agit de résister, je ne sais pas si je pourrais être le meilleur des élèves… »

A nouveau, sa main remonte doucement le long du corps parcourant la robe blanche le long de la hanche. La cuisse se dévoile un peu plus sous les frottements. Sa paume frôle la poitrine ferme, galbée et parfaite de Flora et s’arrête derrière la nuque pour caresser les cheveux noirs et bouclés.

Son sang ne fait qu’un tour. L’envie est trop forte. Le bras de Flora s’est placé dans le creux de reins. Il commence à l’attirer plus vers lui. Ses lèvres se plaquent sur les siennes. Le gout en est riche et enivrant. L’étreinte semble durer une éternité comme un moment pur de plaisir. Il sent qu’ils s’abandonnent tous deux dans le moment, un instant pur, divin presque.

Les lèvres du fils du Dragon descendent le long de son cou, parcourent l’épaule, se logent sur la gorge. Il caresse sa poitrine. Le contact attise encore plus la passion. Yoroku perd la tête dans un typhon de sensations. Les murmures de Flora se font plus audibles pendant qu’elle glisse ses mains sous le T-shirt, dessinant ses pectoraux et ses abdominaux de ses doigts… Le contact, comme un rappel à l’ordre, l’éveille de son rêve. Tendrement, il la dépose sur le lit et ravit un nouveau baiser…

Le dieu nordique était toujours là et souriait doucement en la regardant.

"Tu sais, on a formé votre équipe afin d'avoir des gardiens pour surveiller et protéger Los Angeles et la Californie. Bon, certes, vous n'êtes pas les seuls Scions de Californie ou même de LA, et il y en a même d'autres que vous dans votre université car un centre culturel et intellectuel de ce genre attire forcément du beau monde. Un pôle, même culturel, est magnétique et provoque une attraction. Les belles personnes et les artistes viennent à LA pour y chercher gloire, fortune et célébrité. Néanmoins, vous, c'est différent. Vous avez un statut officiel.

Bon, je suis d'accord pour dire que ça manque de neige à LA. La glace, tu l'as au mieux dans des cornets. Cela dit, pour le surf et le skateboard, il faut quand même avouer que ça assure ! Pour le BMX aussi ! Pas mal de sports extrêmes se pratiquent, donc ce n'est pas si mal. D'ailleurs, si je puis me permettre, je pense que tu devrais en profiter pour devenir célèbre dans ce milieu, ma chère fille adorée !

Bon, sur ce, je ne vais pas pouvoir rester longtemps, ma fille casse-cou préférée... Ou presque, parce que tu n'es pas la seule casse-cou que ton papa a engendré... Nous sommes toujours en guerre. Autre chose ? Ah, oui, maintenant que j'y pense, je peux t'annoncer officiellement que ton empire sur la glace est devenu plus puissant... Oui, j'allais oublier ce petit détail... Je suis impardonnable ! Vraiment..."

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Flora sourit doucement en le regardant et le laissa l'attirer contre lui. La fille d'Aphrodite partagea avec lui toute son expérience et tout son savoir-faire lors du baiser, qu'elle avait attendu avec impatience. La demi-déesse savait s'adapter à son partenaire pour être parfaite. Elle avait indéniablement une grande maîtrise de l'art amoureux, même si, ici, ce n'était pas juste technique : il y avait de la passion. Elle répondait avec fougue au baiser et s'abandonnait aussi à cette étreinte, appréciant ce grand moment de plaisir partagé.

Le fils du dragon, avide, descendit ses lèvres dans son cou et sa gorge. La divine (ou presque) amante soupira doucement en le tenant par le cou. Tout en laissant les mains du Scion du dragon marin la parcourir, elle entreprit délicatement et tendrement de faire de même, tout en murmurant sensuellement des mots doux et amoureux en italien, la langue natale de la fille d'Aphrodite. Celle de son père. Elle caressait les muscles bien dessinés du Japonais et semblait en apprécier la force et la vigueur. Elle en devinait la puissance...

Soudainement, le Scion s'arrêta et la déposa sur le lit avant de venir lui ravir un autre baiser, auquel elle répondit avec autant, sinon plus de passion, que le précédent en le tenant par le cou. Elle interrompit un instant le baiser et mordilla les lèvres de son amant avant de poser sa tête sur le lit en le regardant affectueusement tout en se mordillant la lèvre inférieure, comme gênée. Elle finit par dire :

"Ce sera notre cher et doux secret. Es-tu d'accord ? Tes coéquipières pourraient ne pas apprécier notre proximité et il vaut donc mieux éviter de la dévoiler... Je ne ressens aucune gêne ni honte et je suis heureuse, mais je ne veux aucunement compromettre l'unité de votre groupe..."

Il dépose son index gauche sur les lèvres fiévreuses et pulpeuses.

« Shhh. Actuellement, mes trois camarades sont le cadet de mes soucis. »

Spoiler:

« Tout cela ne les regarde pas. »

Spoiler:

« Laissons ça de côté pour l’instant »

Spoiler:

Quelques heures plus tard, Ils sont encore blottis ensemble, protégés sous les draps. Il la regarde et passe la main dans ses cheveux, pensif.

Flora se tourna vers lui et le regarda en souriant tendrement. Il y avait réellement une lueur dans son regard qui indiquait que l'acte n'avait pas été que charnel : il y avait réellement eu de la passion, de l'émotion et des sentiments. Certaines personnes pouvaient en douter, mais Flora n'était pas aussi insensible qu'on le croyait et elle pouvait même se montrer incroyablement douce et attentionnée.

Bref, allongée sur le lit, ses longues boucles noires cascadant dans son dos, Flora se laissa faire, sans le moindre mot. Ils étaient inutiles et une Scion aussi douée qu'elle dans le domaine social le savait très bien. Elle connaissait ce genre de choses. Elle connaissait la force des mots, mais aussi le poids du non-dit et du silence. Qui d'autre qu'elle pouvait si bien faire usage de ses mots ? Peu de monde sur Terre...

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Pendant ce temps, du côté du salon, ce fut l'invasion ! Non, les ennemis n'attaquaient pas, mais un très grand nombre de chats venait de s'y réunir, l'air de rien, comme s'ils avaient eu l'idée d'organiser une réunion extraordinaire... En fait, ce n'était pas loin : on les avait convoqués ici et ils avaient répondu à l'appel de la personne qui leur avait demandé de venir. Difficile de ne pas reconnaître la responsable...

Et en effet, un des chats s'avança et prit l'apparence de la mystérieuse Bastet. La déesse égyptienne des chats, la mère de Cat, ou plutôt de Leo en ce moment, était là, sous forme humaine, toujours aussi charmante, adroite, vive et sensuelle. Elle observa son fils en souriant et lâcha un soupir de gêne, comme si la situation l'embêtait un peu, mais finalement pas tant que ça... C'était moche, mais c'était tout.

Toujours aussi taquine et potentiellement aussi cruelle qu'un chat jouant avec sa proie, la déesse féline dit en riant doucement :

"J'espère que ça ne va pas faire ressortir un complexe d'Oedipe !"

Dans la chambre, Yoroku finit par ouvrir la bouche :

"Le cortège de visites parentales risque de ne plus être bien long. Si tu veux de la discrétion, il faudrait mieux se rhabiller."

Il quitta la tranquillité et le confort du lit de mauvaise grâce sans céder à cette envie lancinante de plonger encore dans les bras de la jeune femme. Il lui sourit en enfilant son jean. Habillé à moitié, il posa son genou sur le lit, l'embrassa une nouvelle fois. Le contact était moins passionnel, plus tendre. Il sentait qu'il avait retrouvé prise sur ses émotions. Il se détacha et repris son T-Shirt:

"Je dois repartir voir Sojobo-shishou dans son restaurant à L.A. J'ai besoin de lui parlé du grand brun balaise qui a étalé Cat. Il doit surement pouvoir me renseigner où me guider vers un oracle ou une source d'information qui m'en dira plus. Mais d'abord, je suis sur que tu peux m'en apprendre un peu plus sur ce type."

La robe de Flora avait disparu. En fait, elle s'était tout simplement désintégrée quand elle l'avait enlevée, comme si elle avait fait partie intégrante et n'avait plus eu de raison d'être une fois séparée de sa peau. C'était bel et bien cela. Cette robe n'avait existé que comme une extension du corps de Flora et n'avait jamais été un objet à part entière. Ce n'avait été qu'un vêtement construit avec de l'ichor... Cela signifiait que ce fut avec aisance qu'elle se rhabilla : il lui suffisait d'employer son ichor afin de former une nouvelle robe pour la recouvrir.

Elle répondit doucement au baiser et le regarda avec étonnement.

"Sojobo a un restaurant en Californie ? Je l'ignorais, je le pensais au Japon... Soit, ça sera pratique. Quant à Ixion..."

Elle soupira avant de poursuivre :

"L'un de nos pires ennemis parmi les Scions ayant décidé de trahir leurs parents pour servir les Titans et leur engeance, un demi-dieu puissant et redoutable capable de sculpter la chair pour créer des abominations. C'est une chance que son enfermement l'ait empêché de développer ses pouvoirs et son potentiel pour devenir plus puissant encore. C'est un Scion de mon panthéon et, pour ne pas te mentir, il est particulièrement âgé. En fait, à dire vrai, il est l'un des plus anciens Scions encore de ce monde. Or, survivre tant de temps est un exploit.

Comme tu le sais, rares sont les Scions qui atteignent le statut de demi-dieu. Beaucoup meurent avant ou n'ont pas été assez glorieux et héroïques et ont donc fini leur vie en ayant été à peine mieux que des mortels aux pouvoirs exceptionnels. Un Héros est encore un humain, même s'il n'est pas normal. Il faut développer son potentiel divin pour se surpasser et transcender sa condition. Il l'a fait, comme nous, mais il a bien plus d'expérience que nous et Cat n'avait strictement aucune chance contre lui. Il aurait pu la tuer sans le moindre problème.

En fait, bien qu'on le dise Scion d'Arès, il est de nature réfléchie et fourbe : il préfère conspirer dans l'ombre que d'attaquer physiquement alors que sa force est tout sauf ridicule et elle est même, pour ne rien te cacher, supérieure à la tienne. En fait, le problème, c'est qu'il est aussi intelligent et charismatique que fort et agile, en plus d'être capable de créer des aberrations de ses mains grâce à ses pouvoirs impies.

Tu sais, il est si ancien que des mythes lui sont associés dans la mythologie grecque : on lui doit tous les centaures sauf Chiron..."

Flora sourit tendrement en constatant l'enthousiasme du jeune homme. Ce n'était pas un sourire moqueur. Au contraire, elle trouvait cela touchant et plutôt mignon, en fait. Après tout, elle était plus âgée que les Héros, sans être non plus si vieille... Elle s'approcha lentement du Scion japonais et glissa de nouveau ses bras autour de son cou en le regardant amoureusement dans les yeux.

"Si tu as besoin de conseillers ou de guides, je peux t'aider, mais n'oublie pas que s'ils ne sont pas liés à toi par serment, ils peuvent te demander un service en paiement. D'ailleurs, même les Guides à qui les dieux ont confié des Scions peuvent en demander...

Avant d'aller dans le salon, je veux te poser une question : es-tu prêt à assumer notre union et à en parler ? J'ai senti que tu n'étais pas du genre à vouloir nécessairement le cacher, mais je me trompe peut-être... Qu'en est-il, au juste, mon cher Yoroku ?"

Le restaurant était un restaurant japonais assez prisé par les clients car les cuistots étaient tous dotés d'une incroyable maîtrise de leurs couteaux et de leur art : oui, pour eux, la cuisine était plus qu'un métier ou un hobby. C'était un véritable art culinaire. C'était même un spectacle de voir un de ces cuisiniers s'occuper de la préparation et certains voulaient absolument voir tout cela devant leurs yeux.

Sojobo était un homme assez âgé au nez particulièrement long, même si les mortels ne le voyaient pas ainsi. Il semblait à la fois particulièrement sage, ancien et puissant et s'occupait de gérer son restaurant avec calme et sérénité. Il était assis à une table et mangeait seul.

***

Bastet rit doucement et ronronna sensuellement en le regardant.

"Je vois, je vois, chère fille... Ou cher fils. Tu comptes bien redevenir une femme, mais tu n'as aucune idée en ce qui concerne les moyens qui te permettront d'arriver à tes fins, n'est-ce pas ? Tu as encore beaucoup de travail... Cela te demandera du temps. Enfin, je suis là pour t'aider, mais aussi te remercier et te féliciter pour ton nouveau statut de demi-dieu... Ou demi-déesse... Enfin, bon, tu comprends !

Concernant Œdipe, sache qu'il a mérité son sort. Un sphinx est protégé par le Destin. Il ne faut surtout pas y toucher. Je ne le sais que trop bien car je connais certaines choses du Destin. Il ne faut jamais jouer avec ou chercher à le tromper. Tu en as eu la démonstration.

Mais sinon, oui, j'ai passé un bon séjour dans le pays du raffinement asiatique et des Geishas... Vive les plaisirs de l'orient ! D'ailleurs..."

La forme humaine de la déesse égyptienne s'altéra légèrement pour modifier ses yeux verts afin qu'ils aient des pupilles fendues et faire apparaître des oreilles et une queue de chat. Ses oreilles et sa queue étaient bien sûr couvertes de fourrure et s'accordaient parfaitement avec le teint de sa peau, qui était assez brune en raison des origines nord-africaines de la déesse. Elle ronronna et miaula avant d'ajouter :

"Ils adorent ça, là-bas ! J'avais un succès fou !"